I DID NOT MEET WASHINGTON AT VALLEY FORGE

A Gliklekhe rayze! Nessi'a tova!
A Gliklekhe rayze! Nessi'a tova!

 

 

 

 

 

 

 

 

Il ne manque plus que Paul Simon

pour avoir à intervenir sur la troïka 

au complet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J'ai appris avec beaucoup d'amusement que le Zim' avait reçu le prix Nobel de littérature. On ne sait toujours pas s'il ira a Stockholm pour toucher sa prime ... Attention, je suis un admirateur de Dylan l'écrivain, le musicien et même le performer. On disait d'ailleurs en Belgique, avant l'euthanasie du grand Hugo, que Claus avait beaucoup moins de chance que lui d'être honoré par le jury Nobel, mais que le Brugeois chantait beaucoup mieux. La réalité a confirmé le pronostic.

 

J'ai "loupé" une apparition de Leonard Cohen aux Beaux-Arts quand la salle Henry Le Boeuf s'appelait encore comme cela: extinction de voix peu de jours auparavant. Il y a au moins 25 ans de cela. Je ne le verrai donc pas sur scène. Suzanne, Marianne, d'autres encore: tous nous regrettons the death of this ladies' man.

 

Que me reste-t-il de lui? De grands frissons, commencés par une amourette en terre anglaise, il y a plus de 40 ans. 

Faisant "le tour" de ma CD-thèque, j'ai trouvé 16 disques de lui, dont quelques copies! Eh oui, voilà sans doute un des artistes les mieux représentés dans mon rayonnage. Je ne m'en étais jamais aperçu. Il faut Cesaria Evora, Bowie, Astor Piazzola, les Stones ou Dylan en personne pour le dépasser, si on exclut la section "jazz" ou les compositeurs symphoniques, bien entendu. Comment ce personnage somme toute discret, sans énorme battage publicitaire en Europe, est-il arrivé à tant de succès? 

 

Je crois que le talent finit par payer, quand même.

Shalom, Leonard. Repose en paix, si tant est qu'un Cohen y soit jamais autorisé.

 

 

 

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